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A propos des contes
Plus qu’à la pensée, le conteur parle aux sens, au sensible au sensuel qui est la porte de notre intelligence intuitive. ECOUTER UN CONTE
A propos des contes
« Ces histoires, toujours, mettent en lien avec ce qui est tapi dans l’invisible en chacun : des potentiels, des qualités, des ombres et de la lumière, des énergies qui s’animent à travers de grands archétypes.
Dans toutes les sociétés racines, chamanes et guérisseurs le savent, et, la plupart du temps, ils sont aussi conteurs. Car, finalement, le conte emprunte, comme les autres outils de guérison de ces sociétés, nos portes intérieures vers l’invisible. (…)
Plus qu’à la pensée, le conteur parle aux sens, au sensible au sensuel qui est la porte de notre intelligence intuitive. (…)
L’imagination est un muscle et nous souffrons de l’atrophie du rêve.
L’imagination est un territoire, inconnu, mystérieux, où attendent les mémoires de touts nos expériences vivantes d’êtres humains.
Les mythes et les contes réveillent la mémoire du feu, de l’eau, du cerf, du corbeau, du renard, de l’arbre, de la vielle sorcière et de son pouvoir de guérison. Ils réveillent en nous la ruse du Petit Poucet, le courage de Cendrillon, la force d’un Moïse et la dignité d’un Salomon : tout ce que l’humanité a traversé, qu’elle a semé dans ses histoires et qui sommeille en chacun. »
« Ce que les peuples racines ont à nous dire. De la santé des hommes et de la santé du monde. Frederika Van Ingen. Ed.LLL Les Liens Qui Libèrent »
Écouter un conte aborigène:
La réponse de Nungeena
Un Conte...Dragon
Conte tiré de l’ouvrage de Dominique Blondel – Contes de Sagesse des Quatre Éléments
Il était une fois, en des temps très anciens, un dragon. Un dragon assez paresseux, qui ne croquait, par-ci par-là, que quelques chevaliers d’aventure qui cherchaient fortune. Car chacun le sait, les dragons sont les gardiens de trésors fabuleux. C’était un brave dragon qui ne demandait rien à personne et vivait en paix avec le voisinage.
Un jour un chevalier, tout bardé d’acier et hérissé d’armes, vint devant sa grotte. Il commença à l’insulter et le somma de sortir de son antre pour lui livrer combat. Le dragon entrouvrit un œil, pestant contre ces humains qui venaient toujours l’ennuyer au moment de la sieste, et demanda à l’homme:
-
Que me veux-tu, toi ?
-
Viens, viens te battre avec moi, je veux te combattre et te terrasser.
Le dragon soupira :
-
Un de plus. Et pourquoi veux-tu te battre ?
-
N’es-tu pas gardien d’un trésor fabuleux ?
-
Sans doute.
-
Je veux ton trésor. Si tu ne sors pas de ta grotte j’irai te chercher.
Le dragon ouvrit les deux yeux, bâilla, se gratta derrière l’oreille avec délicatesse car il venait de s’aiguiser les griffes (c’était en effet un dragon coquet) et répondit aimablement :
-
Écoute, humain, aujourd’hui je suis repu. Le dernier d’entre vous qui est passé, la semaine dernière était un peu rance et me reste encore sur l’estomac. Et puis, vous m’agacez un peu, avec vos histoires de trésor. J’ai envie de finir tranquillement ma sieste. Aussi je te propose un marché : je te laisse entrer librement dans ma grotte, y chercher ce que tu veux, et l’emmener. Tout ça sans combat, et surtout sans bruit car j’ai l’oreille délicate. Mais sache-le : parfois on trouve ce que l’on cherche, sans avoir ce que l’on désire. Et parfois ce qu’on laisse est plus important que ce qu’on emporte. À toi de voir...
Le chevalier le regarda d’un air stupéfait, puis descendit de son cheval, avec quelque méfiance. Mais le dragon ne bougea pas d’une écaille, et le laissa passer sans mot dire. Derrière l’homme en armes apparut un jeune garçon terrorisé, qui le suivait comme son ombre. D’une griffe légère, le dragon l’arrêta :
-
Et toi, que fais-tu là ?
-
Je suis l’écuyer du chevalier, bégaya le garçon. Je dois le suivre et le servir en tous lieux.
-
Tu as entendu ce que j’ai dit à ton maître ?
-
Oui, seigneur dragon.
-
Le dragon sourit alors, découvrant ses dents scintillantes et tranchantes :
« Seigneur dragon » ! En voici un de poli, pour une fois ! C’est bien, dit-il au garçon. Emporte ce que tu veux, toi aussi. Va!
Les deux hommes s’enfoncèrent dans la grotte, ce qui en soi était déjà un exploit, car les dragons ne sont pas réputés pour leur talent à ranger et faire le ménage, et celui-ci habitait les lieux depuis des temps et des temps. Évitant de glisser et se bouchant le nez, ils aboutirent devant un couloir qui s’enfonçait sous terre, éclairé de l’étrange lueur de champignons phosphorescents. Ils descendirent ainsi encore et encore, perdant toute notion du temps et de la distance qu’ils avaient parcouru. Enfin ils arrivèrent à l’entrée d’une vaste salle dont le plafond se perdait dans l’ombre loin au-dessus d ‘eux.
Cette fois des torches étaient accrochées tout autour de la salle et éclairaient d’un feu chatoyant un amoncellement de coffres emplis de toutes sortes de métaux et de joyaux. Le chevalier jeta au loin son épée et se précipita vers les premiers coffres, puis les suivants, puis d’autres encore, plongeant les mains ici et là, prenant et rejetant, mettant dans un vase des joyaux qu’il abandonnait ensuite pour emplir une jarre de pièces et la vider l’instant suivant pour la remplir à nouveau de pierres. Bientôt, il disparut dans la salle, qui paraissait grandir de plus en plus, et l’écuyer n’entendit plus qu’un son tintant qui s’éloignait progressivement.
Perplexe, le garçon regarda autour de lui.
-
Maître ? appela-t-il d’une voix timide. Mais la salle ne lui renvoya qu’un écho vide.
Se rappelant l’autorisation du dragon, et en attendant que son maître réapparaisse, il chercha autour de lui ce qu’il voulait emporter. Bien sûr, les richesses offertes étaient tentantes, mais quelque chose lui disait que ce n’était pas ce qu’il désirait qu’il y avait là quelque chose d’une toute autre valeur. D’ailleurs, le dragon n’avait-il pas dit « on trouve ce qu’on cherche sans avoir ce que l’on désire » ?
C’est alors qu’il vit, derrière une colonne, une toute petite porte masquée par l’ombre. Il s’en approcha et la poussa. Surpris, il retint un cri : il y avait derrière cette porte un jardin ensoleillé, décoré d’une fontaine et de fleurs éparpillées dans une herbe douce et verte. L’écuyer se disait n’avoir jamais rien vu ni d’aussi beau ni de semblable. Émerveillé, il s’approcha de la fontaine, et s’aperçut qu’il avait soif. Il but, et se sentit heureux. Il se dit alors qu’il valait mieux remplir son cœur que ses poches, car une poche devient lourde si on la remplit quand au contraire un cœur s’allège d’être plein. Il emplit aussi ses yeux de la beauté du jardin et se sentit riche de la douceur qui en émanait. Alors, en souvenir de ce lieu magique, il cueillit une fleur, une seule, et se retira.
De retour dans la salle, il attendit longtemps son maître, mais celui-ci ne revenait toujours pas. Il remonta alors vers la grotte du dragon, afin de demander à celui-ci s’il savait ou était le chevalier. A son arrivée, le dragon, qui finissait sa nuit (car un jour et une nuit étaient passés) entrouvrit à nouveau un œil. Lorsqu’il vit la fleur dans sa main, il se mit à rire d’un grand rire qui fit trembler la terre autour de lui.
-
Est-ce là ce que tu cherchais, petit ?
-
A dire vrai, seigneur dragon, je ne sais pas ce que je cherchais. Mais les fleurs étaient si belles. . . Dites-moi, avez-vous vu remonter le chevalier mon maître ?
-
Ton maitre cherche encore, parmi mes richesses, ce qu’il peut emporter. Je crains qu’il cherche ainsi pour l’éternité, ne trouve jamais et en meure. Car il écoute sa tête, et non son cœur.
Toi, es-tu satisfait ?
Le garçon regarda sa fleur, qui paraissait briller de plus en plus, et sourit :
-
Oui, je suis satisfait. Est-ce là votre trésor, seigneur dragon : la beauté qui ne flétrit pas, la joie qui ne meurt pas ?
Tu es un enfant avisé, tu seras un homme sage et heureux. Tu sais maintenant, quel est le secret des dragons, mais tu ne dois en aucun cas le révéler : l’or n’est qu’un leurre. Ce que nous gardons, en vérité, c’est le secret de la vie…
De l'utilité du tambour aujourd'hui...
J’ai rencontré mon Tambour il y a bientôt 4 ans… Depuis, nous nous sommes apprivoisés et il est devenu un précieux Allié dans ma pratique et dans ma vie de tous les jours. Souvent, il s’invite là où je ne l’attends pas en me faisant entendre sa peau qui se tend comme pour m’indiquer qu’il est prêt et disponible. C’est un appel auquel j’aime répondre et qui souvent, arrive à point nommé !
Le premier son de Tambour que nous ayons entendu est commun à tous les êtres humains, il s’agit du battement du cœur de notre mère lorsque nous étions dans son ventre. Le rythme est notre héritage naturel. Il existe dans notre corps, notre cœur, notre souffle. Il existe dans la vibration des atomes, les cycles des saisons. Chaque élément de la création contient le rythme !
L’utilisation du Tambour de manière thérapeutique est une approche ancestrale.
Le son, en entrant en résonance avec les cellules, harmonise le corps, l’âme et l’esprit, favorise la guérison, libère les tensions physiques et émotionnelles, stimule le système immunitaire et produit un sentiment de bien-être.
Il nous enracine, sollicite nos sens et est particulièrement efficace pour transmuter les émotions, les peurs et les blocages.
Une vraie panacée !
Le son et la régularité de la pulsation du Tambour amène à un état de conscience modifié. Une fréquence d’environ 200 battements par minute, agit directement sur les ondes cérébrales, court-circuite le mental et permet d’entrer directement en contact avec l’intuition, avec Celle ou Celui-qui-Sait à l’intérieur de nous.
La vibration produite par le Tambour est si puissante qu’elle renforce le champ d’énergie autour du corps physique en nous emplissant de la force de vie. Elle aura les mêmes effets bénéfiques sur la Nature et la Terre-Mère.
Le rythme et le son sourd réveillent notre mémoire cellulaire et ancestrale, nous reconnecte à nos forces primaires en lien avec la Nature, avec le monde spirituel et sacré en nous.
Alors jouons, ré-ensauvageons-nous !
Le Tambour dans ma pratique :
-Soins shamaniques
-Massages shamaniques au son du tambour
-Ateliers shamaniques
-Cercles de Tambours lors de la Plein Lune
-Accompagnement individuel au voyage shamanique
Janvier 2020
De l'utilité du tambour aujourd'hui...
J’ai rencontré mon Tambour il y a bientôt 4 ans… Depuis, nous nous sommes apprivoisés et il est devenu un précieux Allié dans ma pratique et dans ma vie de tous les jours. Souvent, il s’invite là où je ne l’attends pas en me faisant entendre sa peau qui se tend comme pour m’indiquer qu’il est prêt et disponible. C’est un appel auquel j’aime répondre et qui souvent, arrive à point nommé !
Le premier son de Tambour que nous ayons entendu est commun à tous les êtres humains, il s’agit du battement du cœur de notre mère lorsque nous étions dans son ventre. Le rythme est notre héritage naturel. Il existe dans notre corps, notre cœur, notre souffle. Il existe dans la vibration des atomes, les cycles des saisons. Chaque élément de la création contient le rythme !
L’utilisation du Tambour de manière thérapeutique est une approche ancestrale.
Le son, en entrant en résonance avec les cellules, harmonise le corps, l’âme et l’esprit, favorise la guérison, libère les tensions physiques et émotionnelles, stimule le système immunitaire et produit un sentiment de bien-être.
Il nous enracine, sollicite nos sens et est particulièrement efficace pour transmuter les émotions, les peurs et les blocages.
Une vraie panacée !
Le son et la régularité de la pulsation du Tambour amène à un état de conscience modifié. Une fréquence d’environ 200 battements par minute, agit directement sur les ondes cérébrales, court-circuite le mental et permet d’entrer directement en contact avec l’intuition, avec Celle ou Celui-qui-Sait à l’intérieur de nous.
La vibration produite par le Tambour est si puissante qu’elle renforce le champ d’énergie autour du corps physique en nous emplissant de la force de vie. Elle aura les mêmes effets bénéfiques sur la Nature et la Terre-Mère.
Le rythme et le son sourd réveillent notre mémoire cellulaire et ancestrale, nous reconnecte à nos forces primaires en lien avec la Nature, avec le monde spirituel et sacré en nous.
Alors jouons, ré-ensauvageons-nous !
Le Tambour dans ma pratique :
-Soins shamaniques
-Massages shamaniques au son du tambour
-Ateliers shamaniques
-Cercles de Tambours lors de la Plein Lune
-Accompagnement individuel au voyage shamanique
Janvier 2020
De l'utilité du tambour aujourd'hui
J’ai rencontré mon Tambour il y a bientôt 4 ans… Depuis, nous nous sommes apprivoisés et il est devenu un précieux Allié dans ma pratique et dans ma vie de tous les jours. Souvent, il s’invite là où je ne l’attends pas en me faisant entendre sa peau qui se tend comme pour m’indiquer qu’il est prêt et disponible. C’est un appel auquel j’aime répondre et qui souvent, arrive à point nommé !
Le premier son de Tambour que nous ayons entendu est commun à tous les êtres humains, il s’agit du battement du cœur de notre mère lorsque nous étions dans son ventre. Le rythme est notre héritage naturel, il existe dans notre corps, notre cœur, notre souffle, il existe dans la vibration des atomes, les cycles des saisons, chaque élément de la création contient le rythme !
L’utilisation du Tambour de manière thérapeutique est une approche ancestrale.
Le son, en entrant en résonance avec les cellules, harmonise le corps, l’âme et l’esprit, favorise la guérison, libère les tensions physiques et émotionnelles, stimule le système immunitaire et produit un sentiment de bien-être.
Il nous enracine, sollicite nos sens et est particulièrement efficace pour transmuter les émotions, les peurs et les blocages.
Une vraie panacée !
Le son et la régularité de la pulsation du Tambour amène à un état de conscience modifié. Ils agissent directement sur les ondes cérébrales, court-circuitent le mental et permettent d’entrer directement en contact avec l’intuition, avec Celle ou Celui-qui-Sait à l’intérieur de nous.
La vibration produite par le Tambour est si puissante qu’elle renforce le champ d’énergie autour du corps physique en nous emplissant de la force de vie. Elle aura les mêmes effets bénéfiques sur la Nature et la Terre-Mère.
Le rythme et le son sourd réveillent notre mémoire cellulaire et ancestrale, nous reconnecte à nos forces primaires en lien avec la Nature, avec le monde spirituel et sacré en nous.
Alors jouons, ré-ensauvageons-nous !
Le Tambour dans ma pratique :
- Soins chamaniques
- Massages chamaniques au son du tambour
- Ateliers chamaniques
- Cercles de Tambours lors de la Plein Lune
- Accompagnement individuel au voyage chamanique
La fumigation, un rituel de purification
La fumigation est pratiquée initialement pour libérer l’Esprit des différentes plantes alliées afin qu’il rétablisse l'équilibre et la paix intérieure d’un individu d’un groupe, d’un lieu…
L'utilisation rituelle de la fumée remonte à l'ère préhistorique et est encore utilisée dans le monde entier, comme technique de « purification ». Elle agit comme une « douche spirituelle », qui va laver la négativité émotionnelle et spirituelle. Les recherches scientifiques ont aussi révélé que cette technique purifie l'air des bactéries nocives et le recharge en ions négatifs.
Faire un rituel de purification par la fumigation, c’est se relier aux 4 éléments Air – Terre – Feu – Eau. L’Air est matérialisé par la fumée qui s’élève ; la Terre par les cendres ; le Feu par la combustion et l’Eau par le coquillage dans lequel la plante est brûlée. Vous êtes le 5eélément, en lien avec l’Ether : dans le Tout, vous faites le choix de créer et de maintenir l’Harmonie.
La Sauge blanche est une des plantes les plus puissantes pour la purification. En plus d’être un remarquable antiseptique, elle exerce une action subtile qui décharge et nettoie en profondeur, chassant les énergies lourdes, négatives ou stagnantes.
Avant de commencer : Un travail de purification nécessite une intention sincère, un esprit clair, du temps devant soi, de la tranquillité. Préparez-vous en visualisant le rituel. Connectez-vous, selon vos aspirations, à la plante, à vos guides, à vos anges, à vos ancêtres, pour vous accompagner. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise manière de faire, l’important c’est de le faire avec le cœur.
Débuter le rituel : Commencez par vous purifier/fumiger vous-même. Déposez quelques feuilles de sauge dans la coquille d’ormeaux enflammez–les ensuite soufflez sur les flammes pour les éteindre. Les feuilles se consumeront lentement d’elles-mêmes en libérant la fumée. Ensuite laissez la fumée vous envelopper en vous aidant d’une plume ou de votre main.
Pendant la purification, laissez vos sens s’ouvrir, ressentez les énergies qui s’agitent, bousculées par la fumée, pour ensuite s’apaiser. Vous pouvez aider la combustion avec une plume naturelle liée à l’élément Air.
Observez, ressentez, écoutez, humez...
Pour purifier un lieu, il est nécessaire d’être méthodique, vous pouvez par exemple débuter à l’entrée et suivre les murs dans le sens anti-horlogique pour terminer par le centre. Les énergies sont souvent stagnantes dans les recoins ; envoyez-y la fumée grâce à votre plume. N’hésitez pas à aller jusque dans les placards. Pour purifier un objet, passez-le dans la fumée afin qu’elle l’enveloppe sur toutes ses faces.
Pour terminer, remerciez les éléments et vos Alliés. Ensuite, ouvrez les portes et les fenêtres, pour bien aérer, mais surtout pour que les énergies qui n’ont pas leur place s’en aillent et retournent dans l’Univers. Les cendres pourront être remises à la Terre...
Procédez à ce rituel aussi souvent que vous en ressentez le besoin...
Une fumigation/purification n’est jamais définitive étant donné que la Vie est mouvement, changement et transformation. C’est un travail de protection, de santé et d’harmonie.
Je viens chez vous
pour un rituel de purification de votre habitat et de ses habitants.
Le soin dure environ 3h.
Contactez-moi : anne_sollie@hotmail.com / 0477 48 95 31